Poème pour Valérie
Est-ce que Val elle rit
Là où elle est Valérie
Le Banc d'Arguin se couvre et se découvre
Toujours et encore
Sans elle
Au gré des marées
Est-ce que Val elle rit
Là où elle est Valérie
Car son rire
Ô son rire, si vous saviez
Il lui ressemblait tant
Et sa joie
Sa vie quoi
Est-ce que Val elle rit
Là où elle est Valérie
Car ici
Abandonnée de sa famille
Une mère, un fils
Vautours crapuleux à vomir
Il lui en a fallu de la force
Pour se lever le matin
Cultiver son jardin
Avec l'énergie du désespoir
D'une fin annoncée
Heureusement que Bruno était là
Est-ce que Val elle rit
Là où elle est Valérie
Dans son paradis imaginé
Tel qu'elle me l'a décrit
Une mer claire vert-émeraude
Bordée de sable fin
Elle peut danser de nouveau
Enfin
Bronzer et puis nager
Sortir de l'eau en s'ébrouant
Je la vois
Je la sens
Lorsque je serai down
Trop ramollo, trop raplapla
Je sentirai son souffle
Doux, sur mon épaule
Elle me donnera sa force
Avec plus de tendresse
Plus de douceur même
Que de son vivant
Car ses coups de gueule pouvaient être féroces
Est-ce que Val elle rit
Là où elle est Valérie
Elle est là
Autre part
Bien vivante
On ne l'oubliera pas
Non
On l'aimait trop pour ça
Est-ce que Val elle rit ?
--
Envoyé par pierrino 27 dans Le blog de pierrino27 le 4/12/2010 06:48:00 PM
vendredi 13 août 2010
lundi 4 mai 2009
lundi 15 décembre 2008
Un Rêve de Petite Fille
PAS DE COMMENTAIRES POUR L'INSTANT SVP , je n'ai pas fini l'article ( Avec toutes mes excuses ! )
Je viens de passer 3 jours chouettes mais crevants ! Je ne vous les raconte pas , il est probable que cela n'intéresserait personne mais je vais juste vous faire part de la " cerise sur le gâteau " .
Le choc des photos , en l'occurrence , sera plus parlant que le poids des mots !
Même éteint , ce modèle est très beau ! Ce qui est quand même rare pour un juke-box
Gros plans sur une mécanique bien huilée et une esthétique réussie
Alors ?
Magique , hein ?
Nostalgie , couleurs , reliefs , format , en général personne ne résiste ! Même ceux qui se moquent éperdument des années 20/30/40 ou 50 , ressentent quand même quelque chose devant ces " bêtes " !
Alors moi.....je fonds littéralement !
Je viens de passer 3 jours chouettes mais crevants ! Je ne vous les raconte pas , il est probable que cela n'intéresserait personne mais je vais juste vous faire part de la " cerise sur le gâteau " .
Le choc des photos , en l'occurrence , sera plus parlant que le poids des mots !
Même éteint , ce modèle est très beau ! Ce qui est quand même rare pour un juke-box
Gros plans sur une mécanique bien huilée et une esthétique réussie
Alors ?
Magique , hein ?
Nostalgie , couleurs , reliefs , format , en général personne ne résiste ! Même ceux qui se moquent éperdument des années 20/30/40 ou 50 , ressentent quand même quelque chose devant ces " bêtes " !
Alors moi.....je fonds littéralement !
vendredi 12 décembre 2008
Tristan : Bonne bonne Humeur ce Matin !
Une vraie daube ! que j'adore !
C'est nullissime .....et c'est génial !
Qu'est-ce qu'on a pu le chanter , dans les années 80 ! hoy hoy hoy hi !!!
" Paris est plein de parisiens , pas assez de parisiennes et trop de parisiens ! "
Je tiens à signaler que les graffitis , dans le clip , sont de lui ! En fait , c'était son métier , et non chanteur . Il n'était donc pas la réincarnation de Buddy Holly !
PS : une petite surprise/mystère à découvrir dans le clip
et sans tricher naturellement ! JUSTE en regardant le clip ! et sans faire de recherches Internet
un énorme bisou à ceux qui trouvent !
et un bisou dans le cou au premier qui trouve....
PS 2 : trop tard ! le jeu est clôturé !
Un deuxième cadeau-surprise au gagnant ! je publie une photo prise par lui , à vélo dans Paris , que j'adore et qui illustre bien cet article ; et que.....sa modestie l'aurait empêcher de publier sur son propre blog ! hihihi !
C'est nullissime .....et c'est génial !
Qu'est-ce qu'on a pu le chanter , dans les années 80 ! hoy hoy hoy hi !!!
" Paris est plein de parisiens , pas assez de parisiennes et trop de parisiens ! "
Je tiens à signaler que les graffitis , dans le clip , sont de lui ! En fait , c'était son métier , et non chanteur . Il n'était donc pas la réincarnation de Buddy Holly !
PS : une petite surprise/mystère à découvrir dans le clip
et sans tricher naturellement ! JUSTE en regardant le clip ! et sans faire de recherches Internet
un énorme bisou à ceux qui trouvent !
et un bisou dans le cou au premier qui trouve....
PS 2 : trop tard ! le jeu est clôturé !
Un deuxième cadeau-surprise au gagnant ! je publie une photo prise par lui , à vélo dans Paris , que j'adore et qui illustre bien cet article ; et que.....sa modestie l'aurait empêcher de publier sur son propre blog ! hihihi !
jeudi 11 décembre 2008
Henry Havelock Ellis : Ses 8 Citations
En fait , 9 !
«La vie peut être considérée comme un art.»
- La danse de la vie
«L’asile d’aliénés est l’endroit où fleurit le plus d’optimisme.»
- La danse de la vie
" Ce que nous appelons «morale» est simplement une obéissance aveugle à des mots de commande.
[ La Danse de la vie (1923) ]
«On ne doit pas avaler plus de croyance qu’on en peut en digérer.»
- La dance de la vie
«Ce que nous appelons progrès est le remplacement d'un inconvénient par un autre.»
«La danse est le plus sublime, le plus émouvant, le plus beau de tous les arts, parce qu'elle n'est pas une simple traduction ou abstraction de la vie ; c'est la vie elle-même.»
- La Danse de la vie
«Plus une civilisation progresse rapidement, plus tôt elle meurt pour laisser place à une autre.»
- La Danse de la vie
«La Terre promise est toujours de l’autre côté du désert.»
- La Danse de la vie
Le sous-produit a parfois plus de valeur que le produit lui-même.
[ Petits Essais sur l'amour et la vertu, II ]
«La vie peut être considérée comme un art.»
- La danse de la vie
«L’asile d’aliénés est l’endroit où fleurit le plus d’optimisme.»
- La danse de la vie
" Ce que nous appelons «morale» est simplement une obéissance aveugle à des mots de commande.
[ La Danse de la vie (1923) ]
«On ne doit pas avaler plus de croyance qu’on en peut en digérer.»
- La dance de la vie
«Ce que nous appelons progrès est le remplacement d'un inconvénient par un autre.»
«La danse est le plus sublime, le plus émouvant, le plus beau de tous les arts, parce qu'elle n'est pas une simple traduction ou abstraction de la vie ; c'est la vie elle-même.»
- La Danse de la vie
«Plus une civilisation progresse rapidement, plus tôt elle meurt pour laisser place à une autre.»
- La Danse de la vie
«La Terre promise est toujours de l’autre côté du désert.»
- La Danse de la vie
Le sous-produit a parfois plus de valeur que le produit lui-même.
[ Petits Essais sur l'amour et la vertu, II ]
Lamartine : Le Lac
Un peu de poésie dans ce monde de brutes !
J'étais dans mes petites années . Je récitais . J'ai eu 20 sur 20 . Et me suis retrouvée de corvée inaliénable de récit de ce texte ( et d'autres ! ) pour les années suivantes , à l'école , kermesses et autres .
Il est longtemps resté dans ma mémoire , comme d'autres gardent les tables de multiplication ( que je n'ai pas retenu , moi , en revanche ! hihihi ! )
Je sais aujourd'hui pourquoi.......
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?
Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
Laissa tomber ces mots :
" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
" Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
" Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.
" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! "
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?
Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.
Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !
J'étais dans mes petites années . Je récitais . J'ai eu 20 sur 20 . Et me suis retrouvée de corvée inaliénable de récit de ce texte ( et d'autres ! ) pour les années suivantes , à l'école , kermesses et autres .
Il est longtemps resté dans ma mémoire , comme d'autres gardent les tables de multiplication ( que je n'ai pas retenu , moi , en revanche ! hihihi ! )
Je sais aujourd'hui pourquoi.......
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges
Jeter l'ancre un seul jour ?
Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s'asseoir !
Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l'écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.
Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.
Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère
Laissa tomber ces mots :
" Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !
" Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.
" Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m'échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore
Va dissiper la nuit.
" Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! "
Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse,
Où l'amour à longs flots nous verse le bonheur,
S'envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?
Eh quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !
Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?
Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !
Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.
Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.
Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !
HUMEUR DE LA NUIT : Ode à La Vie
Dans la vie
Quand on peut chanter.........
Pourquoi faire les choeurs ?
Quand on peut chanter.........
Pourquoi faire les choeurs ?
mardi 9 décembre 2008
HUMEUR DE LA NUIT
Je suis une vieille huître !
Coquille fragilisée , friable , trop balayée par les ressacs de la vie , marées trop fortes , pas tenue le coup !
Des morceaux s'effritent , certains aux maillots blancs essayent de les rattraper dans l'écume : peine perdue ! La nature a ses droits !
Pourtant je m'y suis accrochée au Piquey et aux pignots !
Moi qui rêvais de faire partie du Bassin , j'embrasserais le Mimbeau depuis le haut , et m'y reposerais pour l'éternité , posée sur le sable , enfin confortable et libre !
Coquille fragilisée , friable , trop balayée par les ressacs de la vie , marées trop fortes , pas tenue le coup !
Des morceaux s'effritent , certains aux maillots blancs essayent de les rattraper dans l'écume : peine perdue ! La nature a ses droits !
Pourtant je m'y suis accrochée au Piquey et aux pignots !
Moi qui rêvais de faire partie du Bassin , j'embrasserais le Mimbeau depuis le haut , et m'y reposerais pour l'éternité , posée sur le sable , enfin confortable et libre !
Un Angle de Rêve
C'était le 15 Août .
Vous allez me dire : " un arc-en-ciel ? et alors ? ce n'est pas rare ! Qu'a-t-il de plus que les autres ? "
Rien !
Qu'est-ce qui en fait son attrait , pour moi ?
Si ce n'est qu'il est entier , donc moins courant , ben il est........devant ma porte ! Juste ça !
Si vous saviez tout ce qui se passe , devant ma porte........
dimanche 7 décembre 2008
The Dave Brubeck Quartet : Take Five 1961
Avant de partir au lycée le matin , et ayant des réveils grincheux de couche-tard , je passais ce vinyle " à bloc " ( sur ma platine-JVC-hypermoderne-d'alors , avec diamant et tout et tout ! ) , à l'heure du petit-déjeuner , histoire de me motiver !
Pourtant , au grand dam d'un de mes amis , je ne suis vraiment pas une fan de jazz !
Mais ce morceau est ce que j'appellerais " d'accès facile " pour une hérétique comme moi !
Quelqu'un vient de l'extirper de ma mémoire , et je l'en remercie !
The Dave Brubeck Quartet : Take Five ( 1961 )
Du coup , je viens également de découvrir cela sur YouTube , le même morceau repris par un de mes groupes préférés : la boucle est bouclée de 61 à 2008 !
Radiohead vs Dave Brubeck - Five Step
Pourtant , au grand dam d'un de mes amis , je ne suis vraiment pas une fan de jazz !
Mais ce morceau est ce que j'appellerais " d'accès facile " pour une hérétique comme moi !
Quelqu'un vient de l'extirper de ma mémoire , et je l'en remercie !
The Dave Brubeck Quartet : Take Five ( 1961 )
Du coup , je viens également de découvrir cela sur YouTube , le même morceau repris par un de mes groupes préférés : la boucle est bouclée de 61 à 2008 !
Radiohead vs Dave Brubeck - Five Step
Michael Nyman : The Heart Asks the Pleasure First
Le cadeau d'un inconnu !
Bande originale et thème principal du film : " La Leçon de Piano " , film réalisé par Jane Campion en 1993 , que je n'ai jamais vu ( j'essaierai donc maintenant d'en trouver le temps ! )
Et très jolie bande-annonce à mon goût ! Le piano , l'océan , les coquillages , la nature et........l'amour ! Oui.... bon.... je sais ! Tous les ingrédients du dernier romantisme le plus ringard me direz-vous ! Et c'est vrai ! Mais je SUIS , " une dernière romantique ringarde " , sous mes airs de ne pas y toucher , comme d'autres ont été " Le Dernier des Mohicans " ! J'ai un ami qui me " traite " souvent de midinette....
Bande originale et thème principal du film : " La Leçon de Piano " , film réalisé par Jane Campion en 1993 , que je n'ai jamais vu ( j'essaierai donc maintenant d'en trouver le temps ! )
Et très jolie bande-annonce à mon goût ! Le piano , l'océan , les coquillages , la nature et........l'amour ! Oui.... bon.... je sais ! Tous les ingrédients du dernier romantisme le plus ringard me direz-vous ! Et c'est vrai ! Mais je SUIS , " une dernière romantique ringarde " , sous mes airs de ne pas y toucher , comme d'autres ont été " Le Dernier des Mohicans " ! J'ai un ami qui me " traite " souvent de midinette....
HUMEUR DU JOUR : D'Arguin à Maël
Une chanson de coeur
écrite il y a environ 1 an
MAEL
Le soir descends
Le soir est blanc
L'absence aussi
Pour un an de plus , toutes mes rides seront là demain
J'attends j'attends
J'attends le temps
J'attends mais le froid glacial m'envahit ,
( oh ) non , sil te plaît la vie
REFRAIN
Quelle faute ai-je commise ?
Quelle faute ai-je commise ?
M'en veux-tu d'avoir... mal compris ?
N'importe quoi
N'importe quoi
N'importe quoi pour que tu m'chuchotes encore ,
doucement tes airs favoris
La solitude
La solitude
La solitude m'apprivoise
mais la ronde des pourquoi m'assaille
REFRAIN
Cette ville mercantile
Cette ville mercantile
Cette ville mercantile : famille-sapins-câlins ,
le mien est éteint....
Maintenant comment
Maintenant comment
Comment être présente dans ce décor vide
innocemment
REFRAIN
Et que l'envie
Et que l'envie
Et que l'envie revienne évidente
comme un jour anodin
Au temps d'avant
Au temps d'avant
Ce temps d'avant où je croyais que ton futur
serait aussi le mien
REFRAIN
Le soir descends
Le soir est blanc
L'absence aussi
Pour un an de plus toutes mes rides seront là ........demain
Merci à P. pour la musique et le chant
et pitié ! soyez indulgents !
écrite il y a environ 1 an
MAEL
Le soir descends
Le soir est blanc
L'absence aussi
Pour un an de plus , toutes mes rides seront là demain
J'attends j'attends
J'attends le temps
J'attends mais le froid glacial m'envahit ,
( oh ) non , sil te plaît la vie
REFRAIN
Quelle faute ai-je commise ?
Quelle faute ai-je commise ?
M'en veux-tu d'avoir... mal compris ?
N'importe quoi
N'importe quoi
N'importe quoi pour que tu m'chuchotes encore ,
doucement tes airs favoris
La solitude
La solitude
La solitude m'apprivoise
mais la ronde des pourquoi m'assaille
REFRAIN
Cette ville mercantile
Cette ville mercantile
Cette ville mercantile : famille-sapins-câlins ,
le mien est éteint....
Maintenant comment
Maintenant comment
Comment être présente dans ce décor vide
innocemment
REFRAIN
Et que l'envie
Et que l'envie
Et que l'envie revienne évidente
comme un jour anodin
Au temps d'avant
Au temps d'avant
Ce temps d'avant où je croyais que ton futur
serait aussi le mien
REFRAIN
Le soir descends
Le soir est blanc
L'absence aussi
Pour un an de plus toutes mes rides seront là ........demain
Merci à P. pour la musique et le chant
et pitié ! soyez indulgents !
mardi 2 décembre 2008
Mon Fils Adoptif
Merci à D. pour cette photo
et à M.Devort , son vétérinaire , pour son aide , qui a contribué à lui faire un plumage aussi beau qu'à ses chères bécasses !
HUMEUR DU JOUR : L'Amnésie
L'Amnésie
C'est le réflexe des lâches
Le courage des sages
La politesse des bons-vivants
La lâcheté ( volonté ) des morts-vivants
à R.
C'est le réflexe des lâches
Le courage des sages
La politesse des bons-vivants
La lâcheté ( volonté ) des morts-vivants
à R.
vendredi 28 novembre 2008
ZZ Top La Grange Riding
Juste parce que cette chanson aurait dû être sur ce blog depuis longtemps !
( comme tant d'autres ! mais le temps.......toujours lui , mon pire ennemi ! )
La Grange : nom donné par l'humour Texan aux établissements spécialisés dans lesquels les " femmes de petite vertu " pratiquent leur profession .
Billy Gibbons , au toucher guitaristique bluesy reconnaissable à la première note , ne s'est jamais caché d'être avant tout un blues man , même si sont également présentes les influences rock avec plusieurs reprises d'Elvis Presley ( Jailhouse rock et Viva Las Vegas ) . Moi , quelqu'un qui se réclame de Jailhouse Rock , forcément , ne pouvait que me faire vibrer dès la première fois où je l'ai entendu......
Un calinou à Daytona
( comme tant d'autres ! mais le temps.......toujours lui , mon pire ennemi ! )
La Grange : nom donné par l'humour Texan aux établissements spécialisés dans lesquels les " femmes de petite vertu " pratiquent leur profession .
Billy Gibbons , au toucher guitaristique bluesy reconnaissable à la première note , ne s'est jamais caché d'être avant tout un blues man , même si sont également présentes les influences rock avec plusieurs reprises d'Elvis Presley ( Jailhouse rock et Viva Las Vegas ) . Moi , quelqu'un qui se réclame de Jailhouse Rock , forcément , ne pouvait que me faire vibrer dès la première fois où je l'ai entendu......
Un calinou à Daytona
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