Je me souviens

Georges Perec 1936-1982

" Je me souviens " 1978 - Recueil de bribes de souvenirs

Perec présente cet exercice de mémoire , ces " Je me souviens " sont :

" des petits morceaux de quotidien , des choses que , telle ou telle année , tous les gens d'un même âge ont vues , ont vécues , ont partagées , et qui ensuite ont disparu , ont été oubliées ; elles ne valaient pas la peine de faire partie de l'Histoire , ni de figurer dans les Mémoires des hommes d'Etat , des alpinistes et des monstres sacrés . Il arrive cependant qu'elles reviennent , quelques années plus tard , intactes et minuscules , par hasard , ou parce qu'on les a cherchées , un soir , entre amis ; c'était une chose qu'on avait apprise à l'école , un champion , un chanteur ou une starlette qui perçait , un air qui était sur toutes les lèvres , un hold-up ou une catastrophe qui faisait la une des quotidiens , un best-seller , un scandale , un slogan , une habitude , une expression , un vêtement ou une manière de le porter , un geste , ou quelque chose d'encore plus mince , d'inessentiel , de tout à fait banal , miraculeusement arraché à son insignifiance , retrouvé pour un instant , suscitant pendant quelques secondes une impalpable petite nostalgie . "

Ce Blog

Pour que vous compreniez mon blog :
c'est comme une grosse chenille ( " berk ! " a fait un ami , " changes d'image ! ça ne donne déjà plus envie ! " ) , avec plein d'anneaux !

Des chapitres ( Danse , Années 50 , Design , Indiens , Cap-Ferret , etc.....) : à l'intérieur desquels je viens rajouter des articles au gré de mes envies ou de mes souvenirs .
Des articles avec photos ou vidéos à l'appui et quelques fois un petit commentaire perso , qui vous disent tout ce que j'aime dans la vie , ce qui me fait vibrer et que j'essaye de vous faire partager et aimer le plus possible , en vous donnant moult détails !

Et puis intercalés entre les chapitres , mes Humeurs du Jour : des textes que j'écris quand quelque chose m'a ulcéré ou à l'inverse remplie de joie , ou des souvenirs en forme d'anecdotes sur ma vie .

Si vous voulez ne rien louper au fil du temps , allez direct au menu déroulant à droite , pour voir ce que j'ai rajouté de nouveau à l'intérieur d'un chapitre ! ( puisque mes ajouts ne sont pas chronologiques ) ou si j'ai rajouté une nouvelle humeur du jour .

Bien sûr , je trouverais adorable que vous répondiez à mon sondage , dans la colonne de droite ! ( entièrement anonyme )
Mais vous serez carrément des amours si vous me laissez des commentaires ....( et arrêtez de me dire : " j'ai voulu te laisser un commentaire : ça ne marche pas ! " si si , ça marche très bien ! c'est juste que comme je " modère " les commentaires , ils n'apparaissent pas tout de suite ! )

mercredi 30 janvier 2008

Michel , François , Claude et les Autres....

François de Roubaix , Michel Magne , Francis Lai , Claude Bolling , Ennio Morricone , Georges Delerue , Michel Legrand , Maurice jarre , Eric Serra , Gabriel Yared......

Sans eux , une grosse majorité des films ne ressembleraient plus à rien ! Je leur dis MERCI !!!

François de Roubaix

François de Roubaix, l'Aventurier



François de Roubaix né le 3 avril 1939 à Neuilly-sur-Seine - mort aux Canaries (Ténérife) le 21 novembre 1975 d'un accident de plongée, est un compositeur et directeur musical de films. En 10 ans de carrière, il crée un style musical aux sonorités nouvelles.

Musicien autodidacte, il découvre le jazz à l'âge de 15 ans alors que son père, Paul de Roubaix, produit et réalise des films institutionnels ; le mélange entre musique et cinéma ne le quittera plus. Doué d'un remarquable sens de la mélodie, il travaille énormément sur les sonorités, la diversification instrumentale et les mariages entre instruments. Il fut également l'un des premiers à utiliser le synthétiseur dans la musique de films. En pionnier, il aménage dans son appartement parisien de la rue de Courcelles un des tout premiers home studios 8 pistes dès 1972, où il travaille, finalise ou pose les bases de musiques qu'il complète ailleurs, généralement avec son fidèle ingénieur du son Jean-Pierre Pellissier (cordes, vraie batterie...).

Au début des années 1970, il connaît un passage à vide au cinéma, et se consacre davantage à la télévision. Sa dernière musique de film, Le vieux fusil (1975), semblait explorer une nouvelle direction prometteuse.

Il a travaillé avec toute une génération de metteurs en scène (Robert Enrico, José Giovanni, Yves Boisset, Jean-Pierre Mocky, Jean-Pierre Melville...) Il a aussi composé pour la télévision (Chapi Chapo, Les Chevaliers du ciel).

1961 : Thaumeatopoea, la vie des chenilles processionnaires du pin et de leur extermination controlée de Robert Enrico
1965 : Les Survivants (série TV) de Dominique Genée
1966 : Les Grandes Gueules de Robert Enrico



1967 : La loi du survivant de José Giovanni
1967 : Les Aventuriers de Robert Enrico



1967 : Les Chevaliers du ciel ou Les Aventures de Michel Tanguy - Les Aventures de Tanguy et Laverdure (série TV) de François Villiers
1967 : La Blonde de Pékin de Nicolas Gessner
1967 : Le Samouraï de Jean-Pierre Melville
1967 : Diaboliquement vôtre de Julien Duvivier
1968 : Le Rapace de José Giovanni
1968 : Les Secrets de la Mer Rouge (série TV) de Pierre Lary
1968 : Adieu l'ami de Jean Herman



1968 : Ho ! de Robert Enrico
1968 : La Grande Lessive de Jean-Pierre Mocky
1968 : Le Témoin
1969 : Pépin la bulle (série TV) de Italo Bettiol , Stefano Lonati
1969 : Les Oiseaux sauvages (série TV)
1969 : Jeff de Jean Herman
1969 : 48 heures d'amour de Cécil Saint-Laurent
1970 : Les Amis de Gérard Blain
1970 : Une infinie tendresse de Pierre Jallaud
1970 : L'Étalon de Jean-Pierre Mocky
1970 : Dernier domicile connu de José Giovanni



1970 : Pour un sourire de François Dupont-Midy
1970 : La Peau de Torpedo de Jean Delannoy
1970 : L'Homme orchestre de Serge Korber
1970 : Les Novices de Guy Casaril
1971 : Un peu, beaucoup, passionnément de Robert Enrico
1972 : La Scoumoune de José Giovanni



1975 : Le Vieux Fusil de Robert Enrico

En 1976, il obtient à titre posthume le César de la meilleure musique pour le film Le Vieux Fusil

Michel Magne

Michel Magne, né le 20 mars 1930 à Lisieux (Calvados) - mort à Pontoise (Val-d'Oise) le 19 décembre 1984, est un compositeur et musicien français et joua dans quelques films ...

Compositeur de musiques de films français incontournable dans les années 1960 et 1970. De formation classique, mais d'un esprit musical très ouvert, il passe de la musique concrète à la variété (il accompagne notamment Henri Salvador), puis à la musique de film. On lui doit notamment la série des Angélique, mais aussi Les Tontons flingueurs, Les Barbouzes, Fantômas, Galia, Le Monocle rit jaune, et les musiques des premiers films de Jean Yanne (Tout le monde il est beau, Moi y'en a vouloir des sous, Les Chinois à Paris)...
En installant une structure d'enregistrement professionnelle dans les combles de sa maison d'Hérouville, il crée en 1969 le concept de studio résidentiel, très imité dans les pays anglo-saxons (The Manor, notamment). Des problèmes juridiques nés de la cession du château d'Hérouville le conduisent au suicide, fin 1984.

1962 Le Repos du guerrier
Les Filles de La Rochelle
Un singe en hiver
1963 Les Tontons flingueurs de Georges Lautner
Germinal
Le Vice et la vertu de Roger Vadim
OSS 117 se déchaîne
Mélodie en sous-sol d'Henri Verneuil
1964 Angélique Marquise des Anges



Les Barbouzes de Georges Lautner
Fantômas
Le Monocle rit jaune de Georges Lautner
Banco à Bangkok pour OSS 117
1965 Fantômas se déchaîne
Coplan FX 18 casse tout
Mission spéciale à Caracas
Furia à Bahia pour OSS 117
Le journal d'une femme en blanc
Merveilleuse Angélique
Compartiment tueurs
1966 Atout cœur à Tokyo pour OSS 117
Angélique et le roy
Galia
Estouffade à la Caraïbe
1967 Indomptable Angélique
À cœur joie
Un homme de trop
Fantômas contre Scotland Yard
1968 The Sergeant
Barbarella (direction musicale)
Angélique et le sultan
1970 De la part des copains
Cran d'arrêt
1972 Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil de Jean Yanne
1973 Le Complot de René Gainville
Don Juan ou Si Don Juan était une femme... de Roger Vadim (orchestration)
Moi y'en a vouloir des sous de Jean Yanne
1974 Les Chinois à Paris de Jean Yanne
1982 Les Misérables de Robert Hossein
1983 S.A.S. à San Salvador de Raoul Coutard
L'indic
1984 Réveillon chez Bob
Emmanuelle 4

Francis Lai

Francis Lai est un compositeur et musicien français, né le 26 avril 1932 .

Il a surtout composé les bandes originales des films de Claude Lelouch. Il obtient l'Oscar de la meilleure musique de film en 1970 pour la trame de Love Story, et reçoit une nomination dans la même catégorie quatre ans plus tôt pour Un homme et une femme (1966). Il compose de nombreuses musiques pour Édith Piaf, Mireille Mathieu, Isabelle Aubret, Philippe Léotard, Petula Clark, Nicole Croisille, Dalida et Jacqueline Dulac ainsi que pour plusieurs chanteuses québécoises dont Nicole Martin, Fabienne Thibeault, Ginette Reno et Martine Chevrier.

Nicole Croisille : "Un homme et une femme" en 1966, "Vivre pour vivre" en 1967, "Killy" et "Where Did Our Summers Go" en 1968, "Le passager de la pluie" en 1969, "Les Uns et les Autres" en 1981, "Femme parmi les femmes", "Il y avait", "Images", "Avant toi" et "Un deuxième amour" en 1984, "Itinéraire d'un enfant gâté" en 1988, "Les clés du paradis" en 1990
Johnny Hallyday : "L'Aventure c'est l'Aventure" en 1972.
Yves Montand : "La bicyclette" en 1972.
Elton John : "From Denver to L. A." en 1970.
Ella Fitzgerald : "A Man and a Woman" en 1970.
Carly Simon : "It's Hard To Be Tender" en 1986.

1966 : Un homme et une femme, de Claude Lelouch
1967 : Vivre pour vivre, de Claude Lelouch
1968 : 13 jours en France, de Claude Lelouch
Mayerling, de Terence Young
La Vie, l'amour, la mort, de Claude Lelouch
1969 : Le Soleil des voyous, de Jean Delannoy
Le Passager de la pluie, de René Clément
Un Homme qui me plaît, de Claude Lelouch
1970 : Love Story, de Arthur Hiller



Le Voyou, de Claude Lelouch
1971 : Les Pétroleuses, de Christian-Jaque
Smic, Smac, Smoc, de Claude Lelouch
1972 : La Bonne Année, de Claude Lelouch
La Course du lièvre à travers les champs, de René Clément
1973 : L'Aventure, c'est l'aventure, de Claude Lelouch
Toute une vie, de Claude Lelouch
1974 : Mariage, de Claude Lelouch
Le Chat et la souris, de Claude Lelouch
1975 : Le Bon et les méchants, de Claude Lelouch
Emmanuelle , de Francis Giacobetti
1976 : Si c'était à refaire, de Claude Lelouch
Le Corps de mon ennemi, de Henri Verneuil
1977 : Un autre homme, une autre chance, de Claude Lelouch
1978 : Robert et Robert, de Claude Lelouch
1979 : À nous deux, de Claude Lelouch
1981 : Les Uns et les autres, de Claude Lelouch
1982 : Edith et Marcel, de Claude Lelouch
1984 : Canicule, de Yves Boisset
Les Ripoux, de Claude Zidi
1986 : Un homme et une femme : vingt ans déjà, de Claude Lelouch
1987 : Association de malfaiteurs, de Claude Zidi
1988 : Attention bandits, de Claude Lelouch
Itinéraire d'un enfant gâté, de Claude Lelouch
1989 : Ripoux contre ripoux, de Claude Zidi
La Passion de Bernadette, de Jean Delannoy
1990 : Il y a des jours... et des lunes, de Claude Lelouch
1992 : La Belle histoire, de Claude Lelouch
1993 : Tout ça pour ça, de Claude Lelouch
1994 : Les Clés du paradis, de Philippe de Broca
Les Misérables, de Claude Lelouch
1996 : Hommes, femmes, mode d'emploi, de Claude Lelouch
1998 : Hasards ou coïncidences, de Claude Lelouch
1999 : Une pour toutes, de Claude Lelouch
2003 : Ripoux 3, de Claude Zidi
2004 : Les Parisiens, de Claude Lelouch
2005 : Le Courage d'aimer, de Claude Lelouch

Il a été primé pour : Love Story , Bonsoir Tristesse et Itinéraire d'Un Enfant Gâté ; et nominé pour Un Homme et Une Femme , Vivre pour Vivre , La Bonne Année , Bilitis , Les Uns et Les Autres , Hasards ou Coïncidences .

Le Cinéma de Minuit - Les Etoiles du Cinéma

Gabriel Yared

Gabriel Yared (né le 7 octobre 1949) est un compositeur d'origine libanaise inspiré par les compositeurs classiques

Après des études de droit qu'il abandonne en 1971, cet autodidacte étudie à l'École Normale de Musique de Paris puis débute sa carrière en 1973 en devenant compositeur, orchestrateur ou producteur pour des artistes tels que Michel Jonasz, Charles Aznavour, Johnny Hallyday , Mireille Mathieu , Sylvie Vartan , Gilbert Bécaud ou Françoise Hardy.
Il écrit de la musique de film depuis 20 ans dans la lignée de Georges Delerue.

1978 : Jean-Christophe (feuilleton TV)
1980 : Sauve qui peut (la vie)
1981 : Malevil
1982 : L'Académie des neuf (jeu télévisé)
1983 : La Scarlatine
1983 : La Java des ombres
1983 : La Lune dans le caniveau
1983 : Hanna K.
1984 : La Diagonale du fou
1984 : Tir à vue
1984 : Nemo
1985 : Scout toujours...
1986 : 37°2 le matin
C'est le vent , Betty



1986 : Flagrant désir
1986 : Désordre
1987 : Last Song
1988 : Gandahar
1988 : Les Saisons du plaisir
1988 : Camille Claudel
1990 : Tatie Danielle
1990 : Vincent et Théo (Vincent & Theo)
1990 : La Putain du roi
1992 : L'Amant
1993 : Les Marmottes
1993 : Profil bas
1996 : Le Patient anglais (The English Patient)
1998 : La Cité des anges (City of Angels)
1999 : Une Bouteille à la mer (Message in a Bottle)
1999 : Le Talentueux Mr Ripley (The Talented Mr. Ripley)
2000 : Un automne à New York (Autumn in New York)
2002 : L'Idole
2002 : Possession
2003 : Retour à Cold Mountain (Cold Mountain)
2004 : Shall we dance? La nouvelle vie de Monsieur Clark (Shall We Dance)

Récompensé pour :

1989 : César de la meilleure musique pour Camille Claudel
1993 : César de la meilleure musique pour L'Amant
1997 : Oscar de la meilleure musique dramatique originale pour Le Patient anglais
1997 : Golden Globe de la meilleure musique originale pour Le Patient anglais

Et nominé pour 37°2 Le Matin , Le Talentueux Mr Ripley , Retour à Cold Mountain , ....

Rani Khanna a réalisé en 2005 un film documentaire sur Gabriel Yared, il s'intitule Music by… Gabriel Yared.

mardi 29 janvier 2008

LES GUEULES

.....du Cinéma Français et Etranger : " Mes " Gueules
Maurice Ronet , Charles Bronson , Willem Dafoe , Robert Mitchum , Anthony Queen , Christopher Walken , James Coburn , Tom Berenger ...........
Liste que je viendrais compléter au fil des mois.........

Maurice Ronet

Maurice Ronet, de son vrai nom Maurice Robinet, est un acteur et un réalisateur français né le 13 avril 1927 à Nice et décédé d'un cancer le 14 mars 1983 à Paris (France).
Il fut marié avec les actrices Maria Pacôme de 1950 à 1956 et de 1980 jusqu'à sa mort à Josephine Chaplin , avec laquelle il a eu un enfant. Il est enterré au cimetière de Bonnieux, dans le Luberon.

Je ne cite que quelques films parmi mes préférés , sachant que Maurice Ronet a fait plus de 91 films , sans compter 12 téléfilms , et le fait qu'il a été réalisateur 9 fois .

Pour la plupart des gens , il restera dans les annales du cinéma pour Ascenseur pour l'échafaud, de Louis Malle 1958 ou pour Le Feu follet ( typique de la " Nouvelle vague " ) de ce même Louis Malle en 1963 ou encore La Ligne de démarcation de Claude Chabrol en 1966 , Les oiseaux vont mourir au Pérou de Romain Gary en 1968 , Delphine d'Éric Le Hung et La Femme infidèle de Claude Chabrol en 1969 , ou encore Raphaël ou le Débauché de Michel Deville en 1971 .

Pour moi il restera surtout pour :
1960 : Plein soleil, de René Clément
1969 : La Piscine, de Jacques Deray ( on prend les mêmes et on recommence ! sauf que l'on met Romy Schneider au milieu à la place de Marie Laforêt ! )
1970 : Qui ?, de Léonard Keigel avec Romy Schneider, Jacques Duby, Gabrièle Tinti, Simone Bach, Jean Berger
Genre : Drame - Durée : 1:18:00
Pays : France, Italie
Résumé : « Tu me dégoûtes ! » lance Marina à Claude qui la frappe, la menace de son revolver, tire en l’air et la force à s’asseoir sur le siège passager de sa décapotable. Puis, pour achever de la terroriser, il fonce vers les falaises qui surplombent l’océan. Une fausse manœuvre et la voiture plonge, disparaît dans les flots. Marina est sauve : elle déclare aux gendarmes, qui n’ont pas retrouvé le cadavre de Claude, avoir sauté à temps. Accouru sur les lieux, Serge, le frère de Claude, accepte cette version : « C’est un accident, il n’y a rien à dire ». Marina, encore sous le choc, consent à être hébergée chez lui. La jeune femme profite de l’hospitalité de son hôte – architecte, absent toute la journée – pour s’installer, comme chez elle. Serge, qui tenait son frère en piètre estime,
1972 : Les Galets d'Étretat, de Sergio Gobbi
1977 : Mort d'un pourri, de Georges Lautner

Plein Soleil



La Piscine



Feu Follet



Maurice Ronet interviewé par l'incontournable François Chalais à propos de sa carrière
Reflets de Cannes INA - 17/05/1957 - 00h04m36s : http://www.ina.fr/cannes/index.php?vue=notice&id_notice=I00001298

Charles Bronson

Charles Bronson, de son vrai nom Charles Dennis Buchinski, (3 novembre 1921 à Ehrenfeld, Pennsylvanie - 30 août 2003 à Los Angeles) était un acteur américain .

Onzième enfant d'une famille ouvrière d'origine lituanienne, Charles Bronson est d'abord mineur de fond, puis mitrailleur de queue d'un bombardier pendant la Seconde Guerre mondiale.
Sa carrière de cinéma débute dans les années cinquante, son service militaire effectué. Il est surtout connu pour ses rôles dans des western (Les Sept Mercenaires de John Sturges, Il était une fois dans l'Ouest ou encore Soleil Rouge) et des films de guerre (La Grande Évasion et Les Douze Salopards).
Consacré en Europe par Sergio Leone et René Clément (Le Passager de la pluie), Bronson trouve le succès aux U.S.A. en 1974, grâce à Un justicier dans la ville, à l'âge de 52 ans. Il tourne quatre suites à ce film de Michael Winner, au fil des années.

Charles Bronson a tourné plus de 150 films pour la télévision, entre 1952 et 1998. Il tient la vedette de quatre séries : Man with a camera (1958-1960), Empire (1962), Les Voyages de Jamie McPheeters (1964) et Family of cops (1996-1998).
En tant qu'artiste invité, l'acteur apparaît souvent en boxeur (M-Squad avec Lee Marvin, Playhouse 90, Roy Rogers, One step beyond) ou en méchant de western (Bonanza, Rawhide avec Clint Eastwood , Have gun, will travel, Gunsmoke). On se souvient de son rôle de soldat pacifiste dans la mythique série Twilight Zone, ou de gangster gitan dans Les Incorruptibles.

« Le monstre sacré » a succombé à une pneumonie alors qu'il était atteint de la maladie d'Alzheimer.

1954 : Bronco Apache (comme Charles Buchinsky)
1956 : Le jugement des flêches (Run of the Arrow)
1960 : Les Sept Mercenaires (The Magnificent Seven)
1968 : Adieu l'ami (Honor Among Thieves)
1968 : Il était une fois dans l'Ouest (Once Upon a Time in the West)



1969 : Le Passager de la pluie de René Clément : le colonel Harry Dobbs
1972 : Soleil rouge
1973 : Le Cercle noir
1974 : Chino
1974 : Un justicier dans la ville (Death Wish)

D'accord la vidéo est mauvaise , mais qui se souvient de ce film , à part moi ?
Bronco Apache - Robert Aldrich 1954 avec également Burt Lancaster

Willem Dafoe





Le genre d'acteur-chameleon qui me laisse toujours pantoise d'admiration !

Willem Dafoe est un acteur, scénariste et coproducteur états-unien , né le 22 juillet 1955 à Appleton (Wisconsin, États-Unis). Il a trois frères et quatre sœurs.

1983 : Les Prédateurs (The Hunger), de Tony Scott
1985 : Police fédérale, Los Angeles (To Live and Die in L.A.), de William Friedkin
1988 : La Dernière Tentation du Christ (The Last Temptation of Christ), de Martin Scorsese
1988 : Mississippi Burning, de Alan Parker
1989 : Né un 4 juillet (Born on the Fourth of July), de Oliver Stone
1990 : Cry-Baby, de John Waters
1990 : Sailor et Lula (Wild at Heart), de David Lynch
1991 : Le Vol de l'intruder (Flight of the Intruder), de John Milius
1992 : Sables mortels (White Sands), de Roger Donaldson
1993 : Body (Body of Evidence), de Uli Edel
1994 : Danger immédiat (Clear and Present Danger), de Phillip Noyce

Pour moi , il est surtout l'interprète du Sergent Elias dans Platoon pour lequel il fut d'ailleurs nominé en tant qu'Oscar du meilleur second rôle masculin . ( aux côtés de Charlie Sheen : le soldat Chris Taylor / le narrateur Tom Berenger : le sergent Bob Barnes Forest Whitaker : Big Harold Kevin Dillon : Bunny Johnny Depp : Lerner )
Ce film fut remarquablement soutenu par la Musique de Georges Delerue et Stephen Foster (non crédité), Samuel Barber (Adagio pour cordes)

Platoon
La chanson est "Sound the Bugle" par Bryan Adams

Robert Mitchum




Robert Mitchum, de son vrai nom Robert Charles Durman Mitchum, était un acteur et chanteur américain né le 6 août 1917 à Bridgeport, Connecticut et décédé le 1er juillet 1997 à Santa Barbara, Californie d'un cancer du poumon.
Il a commencé en étant sous contrat avec la RKO.
1947 : Pendez-moi haut et court/La Griffe du passé (Out of the Past), de Jacques Tourneur
1952 : Les Indomptables (The Lusty Men) de Nicholas Ray
1952 : Un si doux visage (Angel Face) d' Otto Preminger
1953 : Passion sous les tropiques (Second chance) de Rudolph Maté
1954 : La Rivière sans retour (River of No Return) d' Otto Preminger
1955 : La Nuit du chasseur (The Night of the Hunter), de Charles Laughton
1956 : Bandido (Bandido) de Richard Fleischer
1957 : Dieu seul le sait de John Huston
1957 : L'Enfer des tropiques (Fire down bellow), film de Robert Parrish
1959 : L'Aventurier du Rio Grande (The Wonderful Country) de Robert Parrish
1960 : Celui par qui le scandale arrive (Home from the hill) de Vincente Minnelli avec Eleanor Parker, George Peppard, George Hamilton. Rôle de Wade Hunnicut
1960 : Ailleurs l'herbe est plus verte de Stanley Donen
1961 : Les Nerfs à vif (Cape Fear) de Jack Lee Thompson
1962 : Le Jour le plus long
1966 : El Dorado de Howard Hawks
1972 : La Colère de Dieu, film de Ralph Nelson
1974 : Yakuza (The Yakuza) de Sydney Pollack
1978 : Le Grand sommeil de Michael Winner
1984 : Maria's Lovers de Andreï Kontchalovski
1990 : Présumé dangereux de Georges Lautner
1991 : Les Nerfs à vif (Cape Fear) de Martin Scorsese

Et si je n'en gardais qu'un , ce serait : La Nuit du Chasseur

Robert Mitchum et Lilian Gish dans La Nuit du Chasseur - "Leaning"



Yakuza


Christopher Walken


Christopher "Chris" Walken est un acteur américain né le 31 mars 1943.

D'abord comédien de théâtre et de comédie musicale, il entame rapidement une carrière cinématographique. Repéré très tôt par Sidney Lumet, il perce dans Annie Hall de Woody Allen en 1977 et surtout avec son rôle oscarisé dans Voyage au bout de l'enfer (The deer Hunter) de Michael Cimino (1978). Il accepte aussi bien les seconds rôles que les premiers (Dead Zone de David Cronenberg). Son « look » lui facilite les rôles de « durs » et de « méchants » notamment dans les films Dangereusement vôtre (A view to a kill) de John Glen (1985), un James Bond où il interprète le « grand méchant » (industriel follement mégalomane), et Comme un chien enragé (At close range) de James Foley (1986). Sa collaboration avec Abel Ferrara, qui commence en 1990 avec The King of New York et continue jusqu'ici avec The Addiction (1995), Nos funérailles (The Funeral) (1996) et New Rose Hotel (1998), donne un autre coup de fouet à sa carrière, il travaille entre autre avec Tim Burton dans Batman, le défi (Batman Returns) en 1991 et dans Sleepy Hollow en 1999 où il campe l'étonnant personnage du cavalier sans tête, et Quentin Tarantino pour un des nombreux seconds rôles de Pulp Fiction. Dernièrement il a tenté le registre plus populaire de la comédie avec Couple de stars (America's sweethearts) en 2001.
En 2002, sous la direction de Steven Spielberg, il a également fait une interprétation remarquée dans Arrête-moi si tu peux (Catch me if you can), aux côtés de Leonardo DiCaprio, jouant le rôle du père du personnage interprété par Di Caprio.

Je retiens surtout Dead Zone (The Dead Zone) en 1983 , un film de David Cronenberg adapté du roman éponyme de Stephen King où il interprète le rôle de Johnny Smith , un professeur ordinaire, qui accompagne son amoureuse à une fête foraine. Le même soir, après avoir raccompagné son amie Sarah, il est victime d'un accident de la route et sombre pendant cinq ans dans le coma... À son réveil, il découvre qu'il est doté du don de voir l'avenir d'une personne en la touchant.Par hasard, il rencontre Greg Stillson, candidat à la Maison Blanche... et aperçoit une vision apocalyptique de l'avenir lorsque celui-ci sera devenu président.John Smith se débat alors avec un dilemme moral : que peut-il faire pour empêcher cela ? Peut-il aller jusqu'à tuer cet homme ?

Une facette de Christopher Walken que j'adore également et que tout le monde ne connait pas forcément ! : Christopher Walken singing, dancing, stripping

Fatboy Slim - Weapon of Choice



Christopher Walken dans le film "Pennies From Heaven" 1981 avec Steve Martin. La chanson qu'il interprète est "Let's Misbehave."

James Coburn

James Coburn était un acteur américain.
Il naquit le 31 août 1928 à Laurel, dans le Nebraska et décéda d'un arrêt cardiaque le 18 novembre 2002 au Cedar Sinaï Hospital de Los Angeles, Californie.
Il fut une inoubliable « présence » de l'écran, à la fois désinvolte et charismatique.
Il restera à jamais dans la mémoire des cinéphiles en tant qu'acteur fétiche de Sam Peckinpah avec des rôles mémorables comme dans Major Dundee, Pat Garrett and Billy The Kid (le rôle de sa vie) et Cross of Iron.
Son rôle le plus populaire (qui le figera dans une sorte d'inconscient collectif) sera celui du révolutionnaire dynamiteur John Mallory dans le magnifique Il était une fois la révolution de Sergio Leone en 1971.
Il tourne dans Les Sept Mercenaires en 1960 et participa à La Grande Évasion en 1963 avec son grand ami Steve McQueen.

Sa sophistication virile, sa démarche féline, ses allures de dandy et la dureté ascétique de son visage (affublé d'une denture impressionnante) s'accordent autant au monde viril de John Sturges, Sam Peckinpah, Sergio Leone ou Walter Hill qu'à l'univers comique d'un Blake Edwards.
Il passe allègrement du film d'action à la comédie américaine. De La Grande Évasion de John Sturges à Charade de Stanley Donen. En 1965, il accède au rang de vedette avec sa création d'un nouvel espion de charme, un éphémère rival de James Bond : Flint.
Il tourne dans le 1er film de Walter Hill : Le Bagarreur en 1975 avec Charles Bronson et incarne de nouveau une figure de cow boy dandy particulièrement rude dans le superbe La Chevauchée sauvage de Richard Brooks la même année.
Avec son ami Bruce Lee, James Coburn avait écrit « Le Cercle De Fer » adapté à l'écran par Richard Moore dans lequel ni l'un ni l'autre n'apparaissaient.

Même si il n'apparait que furtivement dans cette bande-annonce , je retiendrais surtout ce film avec lui !
Les 7 Mercenaires ( The Magnificent Seven ) de John Sturges 1960
Music de Elmer Bernstein
Avec Yul Brynner, Eli Wallach, Steve McQueen, Horst Buchholz, Charles Bronson, Robert Vaughn, Brad Dexter & James Coburn

lundi 28 janvier 2008

Tom Berenger


Tom Berenger est un acteur et producteur américain, né le 31 mai 1949 à Chicago, dans l'Illinois (États-Unis).

A son actif aujourd'hui 62 films et téléfilms

1986 : Platoon : SSgt. Bob Barnes
1987 : Traquée (Someone to Watch Over Me) : Det. Mike Keegan
1988 : Randonnée pour un tueur (Shoot to Kill) : Jonathan Knox
1989 : Les Indians (Major League) : Jake Taylor
1991 : Troubles (Shattered) : Dan Merrick
1993 : Sliver : Jack Landsford
1995 : Le Dernier Cheyenne (Last of the Dogmen) : Lewis Gates

Platoon
Placebo - Running Up That Hill

Animo 1987

Un vieux souvenir......

Clip de Gérard Pullicino 1987

Fred Blondin 1989

Bon , qu'on se le dise : j'ADORE les voix éraillées !
Passé ou présentes
Françaises ou étrangères
Hommes ou femmes

Alors , essayez d'entendre son grain de voix sur cette vidéo dont la bande sonore est pourrie , mais qui a au moins le mérite d'exister !

Paris au bords des larmes (1989, 45 tours)
Blondin (1990)



Félicie
Reprise inattendue........



Né le 6 mars 1964 à Suresnes, dans les Hauts-de-Seine, Fred Blondin est un chanteur français.

Fred Blondin restera dans sa ville natale de la banlieue parisienne jusqu’à vingt ans. Son père – cadre commercial dans un groupe pétrolier – est fils de Pieds-Noirs. Sa mère, originaire des Vosges, est secrétaire de direction. Après des études courtes ("je me suis fait virer en seconde : je n’aimais que la guitare") et quelques petits boulots, cordonnier, pompiste ou taxi, Fred Blondin travaillera comme éducateur à la DDASS jusqu’en 1996. Il en était alors à son troisième album. Blondin a commencé sa carrière sans besoin de prénom, son deuxième album s'appelant Blondin.

En signant chez Tréma pour son premier album, Blondin offre au grand public 10 titres dont un le fera tout de suite entrer dans le métier. Avec Paris aux bords des larmes (dont il compose la musique et co-écrit les paroles avec Marc Strawzynski), il dévoile son talent de guitariste compositeur et celui d'interprète possédant une voix puissante et rauque (rock).

Pierre Rapsat

Pierre Raepsaet mieux connu sous le nom de Pierre Rapsat est un auteur-compositeur-interprète belge né à Ixelles le 28 mai 1948, d'un père flamand et d'une mère qui était la fille de réfugiés catalans durant la guerre civile espagnole, ce qui par ailleurs inspiré ces chansons « Adéu » et « Aurore ». A l'âge de dix ans, ses parents s'installent à Verviers, qui va devenir sa ville d'adoption jusqu'à sa mort en 2002.
Après avoir joué dans différents groupes, il entame une carrière en solo en 1973. Son style puissant, oscillant entre rock et chanson française, est original et plaisant mais ne lui permet guère de percer. Rapsat s'obstine cependant, travaille ses textes et sa musique, sort album sur album. En 1976, il représente la Belgique au Concours Eurovision de la chanson à La Haye avec « Judy and Co ». En 1982, avec 30.000 exemplaires vendus, l'album « Lâchez les fauves », est son premier grand succès en Belgique francophone. Infatigable bête de scène, Pierre Rapsat est partout, y compris aux Fêtes de Wallonie. Le succès se confirme avec « Ligne claire » et « J'aime ça ». En 1986, il donne son premier concert à Forest National. Suivra une période moins inspirée, et il faudra attendre 2001 pour que la renommée de Pierre Rapsat dépasse les frontières de la Belgique francophone. Sorti en 2001, l'album « Dazibao », qui reçoit un accueil très positif en Belgique, mais aussi en France, est celui de la véritable consécration. Malheureusement, Pierre Rapsat goûtera fort peu le bonheur de ce succès: atteint d'un cancer, il décède le 20 avril 2002.

L'enfant du 92ème



Une chanson que j'aime bien également : " où es-tu Julian ? "

dimanche 27 janvier 2008

Eternelle Angélique

Angélique (littérature): la série de romans créés par Anne Golon

Angélique est une série de romans décrivant la vie romanesque d'Angélique de Sancé de Monteloup, Comtesse de Peyrac, Marquise du Plessis-Bellière et à jamais Marquise des Anges, sous le règne de Louis XIV. Les auteurs voulaient que l'héroine vienne du Poitou et l'ont nommée Angélique en référence à la fleur qui est très répandue dans la région poitevine :l'angélique, fleur des anges.

Anne Golon a décidé de faire découvrir le XVIIe siècle, cette période semblait, à l'auteur, peu exploitée dans la littérature par rapport au Moyen Âge, à la Révolution française ou à la période napoléonienne.

Angélique Marquise des Anges est un film français réalisé par Bernard Borderie, sorti en 1964.

Le film est remarquablement soutenu par la musique du compositeur Michel Magne

Angélique et Joffrey



Angélique et Le Sultan



Michele Mercier vénale......et sublime



Filmographie d'Angélique

1964 : Angélique Marquise des Anges de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein, Jean Rochefort
Fille du baron de Sancé de Monteloup, élevée très librement, Angélique côtoie les jeunes gens de son âge, notamment Nicolas, son ami d'enfance. Afin de parfaire son éducation, son père la confie à son cousin et voisin le marquis de Plessis-Bellières. Raillée par ses cousins, qui l'appelle la “princesse à la triste robe”, elle surprend un jour une conversation, où l'on parle du projet du Prince de Condé d'empoisonner le futur roi Louis XIV. Elle vole alors la fiole de poison et le message qui l'accompagne. Mais elle parle trop : Condé, qui la soupçonne d'être au courant du complot qui se trame, la fait enfermer dans un couvent. Les années passent. Quand son père, ruiné, l'en fait sortir prématurément, c'est pour lui apprendre qu'elle est promise au richissime comte de Toulouse, Joffrey de Peyrac, qu'on dit boiteux et défiguré par une cicatrice. Désespérée, Angélique se donne à Nicolas, mais ils sont surpris par Guillaume, le cocher du baron de Sancé de Monteloup. Nicolas tue alors Guillaume, et doit s'enfuir, non sans avoir fait promettre à Angélique de le rejoindre au petit jour… Mais Angélique ne retrouve pas Nicolas. Résignée, elle se résout à rencontrer le Comte de Peyrac, son futur mari. Joffrey déploie alors toute sa patience et sa séduction, et lui fait partager le secret de sa richesse : la fabrication de l'or. Peu à peu, Angélique apprend à aimer son époux…
Michèle Mercier : Angélique Sancé de Monteloup
Robert Hossein : Jeoffrey de Peyrac
Jean Rochefort : François Desgrez et son chien Karlo : Sorbonne.
Giuliano Gemma : Nicolas Merlot alias Calembredaine
Jacques Toja : Louis XIV
Claude Giraud : Philippe de Plessis-Bellières
Jacques Castelot : archevêque de Toulouse
Jean Topart : M° Bourié

1965 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Claude Giraud, Jean Rochefort
Après la mort de son mari Jeoffrey sur le bûcher, Angélique vit désormais avec Calembredaine à la Cour des miracles. Et après avoir récupéré ses fils, Angélique est bien décidée à retrouver son rang à la cour et à se venger de ceux qui ont causé sa perte.
Jean-Louis Trintignant: poète Crotté
Giuliano Gemma: Nicolas Calembredaine
Jacques Toja: Louis XIV
Noël Roquevert: Bourjus
Serge Marquand : Jactance

1966 : Angélique et le roy de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Jean Rochefort
Gràce à son mariage avec son cousin Philippe, Angélique retrouve sa place à la Cour. Mais Philippe meurt à la guerre des Flandres. Le roi lui donne alors une mission, celle de séduire l'ambassadeur de Perse en vue de la signature d'un traité avec la France, en échange de lui permettre de retrouver des biens ayant appartenu à Jeoffrey.
Sami Frey : Zoukim Batchiary Bey
Michel Galabru : Bontemps
Jean Lefebvre : L'apothicaire

1967 : Indomptable Angélique de Bernard Borderie avec Michèle Mercier, Robert Hossein
Après avoir découvert que Jeoffrey n'était pas mort, Angélique part en compagnie de son fidéle alchimiste Savary vers la Méditerranée à sa recherche

1968 : Angélique et le sultan de Bernard Borderie avec Michèle Mercier , Robert Hossein
Après avoir découvert que Jeoffrey n'était pas mort, Angélique part en compagnie de son fidéle alchimiste Savary vers la Méditerranée à sa recherche
Jean-Claude Pascal : Osman Ferradji
Helmut Schneider: Colin Paturel
Roger Pigaut: Pierre-Marie D'Escrainville
Jacques Santi: comte de Vateville

Et bien sûr , comme d'habitude ! aucune vidéo sur YouTube d'Angélique avec Sami Frey ! Il était pourtant beau en prince oriental !

HUMEUR du JOUR : Manitas De Plata

La Camargue , les figuiers centenaires où se cacher , les cheveux d'anges , les fétuques et les tamaris , la permissivité , les chevaux blancs et les taureaux noirs , la liberté . Puis Manitas , sa façon de jouer , ses fils , son fils , les pieds nus , les chaudes nuits de printemps , les cigales , le bruit des plongeons des ragondins ou celui de la brise dans les bambous , les bains de minuit , la sensualité , les roses aux petits-déjeuners , la prédiction , Sainte Sara , l'arc-en-ciel du bonheur , BB et la danse . Un autre monde . Une vie qui se construit , un coeur qui n'oubliera pas , une âme vendue à jamais .

Soirée Flamenco chez BB en 1968



Je voulais rajouter ici le cadeau que m'avait fait un ami , un morceau qu'il a enregistré , mais impossible : ce n'est pas une vidéo !

samedi 26 janvier 2008

LA DANSE

1966 : Pour moi , comme pour des centaines d'enfants , c'est LA que tout a commencé.....

L'âge Heureux - Reportage TF1

1952 Donald O'Connor - Make Them Laugh - Singin' in The Rain

Et je crois que cela a continué par là....

Que dire , sinon qu'il y a tout ? !!! Admirez le chanteur , le danseur , le musicien , le mime , l'interprète , l'acteur , en 1 mot : L'Artiste au sens le plus complet qui soit ! Chapeau bas Monsieur O'Connor !

Le tournage de la séquence où Edmond chante "Make'em laugh", fut si éprouvant que Donald O'Connor dut prendre plusieurs jours de repos une fois la séquence finie.

Chantons sous la pluie (Singin' in the Rain) est un film musical américain de Stanley Donen et Gene Kelly, sorti en 1952.
Chorégraphie : Gene Kelly

Donald O'Connor (28 août, 1925 (Chicago) - 27 septembre, 2003), comédien, danseur, réalisateur, producteur américain.
Fils d'artistes du cirque passés au vaudeville peu avant sa naissance, il est amené sur scène pour entendre les applaudissements alors qu'il n'a que 3 jours. À l'âge de 13 mois, il travaille déjà sur scène et apporte ainsi à la famille son cachet de 25$ par semaine. Il passe ainsi une enfance heureuse dans le monde du spectacle où il se sent parfaitement à l'aise. Puis il se tourne vers le cinéma où il apparaît dans 58 films. Toutefois sa plus grande prestation aura sûrement été dans la comédie musicale Singin' in the Rain de Stanley Donen, aux côtés de Gene Kelly, dans lequel il fait montre de ses extraordinaires talents acrobatiques.

Debra Paget 1959

J'ai vu ses films entre 4 et 10 ans , et c'est la première femme qui m'a donné envie de danser !

Debra Paget, de son vrai nom Debralee Griffin, née le 19 août 1933 à Denver au Colorado, est une actrice américaine. Elle débute en tant que danseuse puis continue sa carrière au théâtre et au cinéma dès 1948

1950 : La Flèche brisée de Delmer Daves
1951 : La Flibustière des Antilles (Anne of the Indies) de Jacques Tourneur
1954 : La Princesse du Nil (Princess of the Nile) de Harmon Jones
1956 : Les Dix Commandements (The Ten commandments) de Cecil B. DeMille : Lilia
1959 : Le Tigre du Bengale de Fritz Lang
1959 : Le Tombeau hindou de Fritz Lang

Le Tigre du Bengale (Der Tiger von Eschnapur) est un film allemand réalisé par Fritz Lang, sorti en 1959. C'est le premier volet d'un diptyque qui se pousuit avec Le Tombeau hindou.
Les extérieurs ont été tournés en Inde, à Udaipur, dans l'état du Rajasthan. Les intérieurs ont été tournés en studio à Berlin
Le rôle de Seetha, initialement prévu pour une actrice indienne, fut finalement confié à l'Américaine Debra Paget , danseuse de formation.

Le Tigre du Bengale



Indian Tomb
( faites abstraction de la langue allemande sur le début )

Brigitte Bardot

Et elle , ce fut la deuxième

Et Dieu… créa la femme de Roger Vadim 1956
la danse tam-tam mambo



La Bride sur le cou (Please not now!) Roger Vadim 1961



La Femme et le pantin - Julien Duvivier - 1959



Avec Dario Moreno - Voulez-vous danser avec moi ? - Michel Boisrond - 1959

jeudi 24 janvier 2008

LE SCAT

Le scat est une forme d’improvisation vocale où des onomatopées sont utilisées plutôt que des paroles.

Selon Mezz Mezzrow (dans Really the Blues, son autobiographie), c'est Louis Armstrong qui a pour la première fois enregistré du scat. Lors d'une session avec le Hot Five, Louis entame Heebies Jeebies, fait le clown, et du coup lâche le papier où étaient écrites les paroles. Il doit alors inventer le reste pour finir le chorus. « À ce moment précis, l'instant où Louis laissa tomber ce bout de papier et donna libre cours à son génie d'improvisation, il marqua le début d'une mode musicale qui allait faire fureur et devenir partie intégrante de la culture américaine, au même titre que Mickey Mouse ou le Coca-Cola. Tous les brailleurs de “hi-de-ho”, “vo-de-o-do” et de “boop-boop-a-doo” qui surgirent par la suite dans tout le pays [, ...,] ne réussirent pour la plupart qu'une pâle imitation commerciale de ce que Louis avait fait spontanément et avec un sens musical parfait. » (Mezz Mezzrow, Really The Blues / La rage de vivre, p. 178, Le Livre de Poche, 1341-1342, Ed. Buchet-Chastel).
Il existe cependant des enregistrements de scat plus anciens, notamment de Don Redman et Cliff Edwards. Jelly Roll Morton affirmait déjà le chanter avec Tony Jackson à la Nouvelle-Orléans en 1905!

Mezz néglige de rendre hommage à l'autre génie du scat : Ella Fitzgerald a porté cette forme d'improvisation à des sommets que Louis Armstrong n'a pas atteint lui-même.
Cab Calloway apporta également beaucoup au mouvement scat, avec des succès tels que Zaz-Zuh-Zaz, ou The Scat Song.
Le dessin animé Les Aristochats produit par Walt Disney Company comporte une ou deux scènes où les chats copains de O'Malley, dont le « chef de bande » s'appelle justement Scat Cat, se déchaînent en scat — le jeu de mots entre cat (signifiant « chat » en anglais) et scat étant utilisé dans l'air « Everybody wants to be a [s]cat ».
Louis Armstrong et Danny Kaye ont laissé un inoubliable duo de scat dans l'interprétation de When The Saints du film The Five Pennies en 1959.

Oh, when the saints go marching in,
Oh, when the saints go marching in,
Lord, I want to be in that number,
When the saints go marching in.

Oh, when the new world is revealed, etc.
Oh, when they gather round the throne, etc.
And when they crown Him King of Kings,
And when the sun no more shall shine,
And when the moon has turned to blood,
And on that hallelujah day,
And when the earth has turned to fire,

Oh, when the saints go marching in,
Oh, when the saints go marching in,
Lord, I want to be in that number,
When the saints go marching in.



En France, Michel Legrand et France Gall à ses débuts ont remarquablement illustré le genre.
Toujours en France, la chanteuse Anne Ducros développe un art du scat très personnel tout en restant dans la grande tradition initiée par Ella Fitzgerald et Sarah Vaughan.
Le scat a été popularisé aussi auprès du grand public par le pianiste et chanteur John Larkin, sous le pseudonyme de Scatman, qui a été pendant quelques semaines une vedette du Top 50 avec son hit "I am the scat man", sous les onomatopées "Ski bi di bi di do bap do".
Le groupe KoЯn utilise du scat dans certaines chansons, notamment dans la chanson Twist, de l'album Life Is Peachy